«J’entrai et eus la chance de l’entendre pour la première fois. J’étais époustouflé. La salle tremblait encore des applaudissements du public quand soudain il quitta la scène. Je me hâtai au-dehors, pressé de me présenter à lui et de le féliciter, mais il était déjà parti. Sautant dans une jinrikisha, je me rendis alors à son hôtel, ayant réussi à me procurer son adresse. Hélas ! L’oiseau s’était déjà envolé. Il avait attrapé le train de minuit pour se rendre à un rendez-vous dans une importante ville du Sud » (22).
in « Les raconteurs publics au Japon », Jules Adam, Traduit et adapté par Ian Mac Arthur. « Le rakugo et Henry Black », Cipango [En ligne], 20 | 2013, mis en ligne le 16 avril 2015, consulté le 19 avril 2018. URL : http://journals.openedition.org/cipango/1990 ; DOI : 10.4000/cipango.1990